jeudi 13 avril 2023

Portrait FineArt - IVANN

C'est tellement excitant de créer un portrait dans ce style FineArt, vraiment ART.

De plus, 'est une bonne formation de soi-même...

Merci mes modèles!





lundi 20 février 2023

Family Love

L'univers merveilleux et chaleureux de la Famille, où tout le monde se complète.

***

Valéria-Marina-Marielle-Michaël et Laura  


mardi 31 janvier 2023

Autre beauté

 Séance photo chaleureuse avec des sourires et des moments de légèreté et de vie!

Résidence autonomie Le FloréalDANGE ST ROMAIN, VIENNE














mardi 29 mars 2022

Futuroscope

 Depuis 2010 je travaille dans le parc du Futuroscope, dans ce lieu unique et remarquable! Et je réalise enfin (!!!) mon nouveau projet-photo avec des pavillons et d'architecture du parc.

Le Parc du Futuroscope, ouvert le 31 mai 1987 dans les communes de Jaunay-Clan et Chasseneuil-du-Poitou, comporte une vingtaine d'attractions, présentées dans des pavillons aux formes à la fois futuristes et intemporelles, utilisant des formes géométriques élémentaires (sphère, triangle, cube, cylindre…) ou plus complexes évoquant le monde minéral (goutte d'eau, cristal…), et défiant parfois les principes de l'architecture comme l'horizontalité et la verticalité.

Les pavillons du Futuroscope et de nombreux bâtiments de la technopole du Futuroscope toute proche sont nés de l'imagination de l'architecte français Denis Laming qui se qualifie comme initiateur du mouvement néo-futuriste. Dès les années 2010, d'autres architectes interviennent sur les réhabilitations de pavillons existants et nouvelles constructions du parc et du futur ressort.

Les bâtiments sont composés principalement de matériaux contemporains tels que le métal, le verre réfléchissant, le béton architectonique, l'aluminium composite…

S'adressant à des humains, les pavillons ont des dimensions volontairement assez modestes : les plus hauts édifices ne culminent qu'à une trentaine de mètres de hauteur, la surface moyenne de chaque pavillon se situant entre 1 000 à 1 500 m2.

Depuis le début des années 2000, les noms des pavillons (décrits ci-après) sont toujours utilisés en interne, mais ont pour la plupart disparu des indications à destination des visiteurs (plans et signalétique, brochures, site internet…) au profit du nom des attractions ou des films qu'ils contiennent.

Crédits de l’Architecte [ D.LAMING, Architecte ]  et crédits du [ Parc du Futuroscope ].




mardi 22 février 2022

Sanctuaire carolingien

À 1 km de Cravant-les-Coteaux, le Sanctuaire Carolingien de Cravant (localement dénommé « la Vieille Église du Vieux Bourg« ) se love sur les rives du ruisseau St-Mexme, au cœur du Parc Naturel Régional Loire-Anjou-Touraine et des chemins ombragés tant convoités par les amateurs de randonnées.
Cet harmonieux monument, riche du premier art roman tourangeau, est l’un des plus intéressants du Val de Loire et sa nef reste l’un des rares types bien conservés de l’architecture religieuse carolingienne.
Les coteaux alentour, réputés pour leur production de vin de garde, révèlent bon nombre de manoirs et de curiosités archéologiques.
Avec certaines de ses parties remontant au IXe siècle et construites sur des traces du VIIe, cet harmonieux monument riche du premier art roman est historique à plus d’un titre : classé lui-même Monument Historique depuis 1913, les deux piliers mérovingiens qu’il contient le furent à leur tour en 1963, et la fresque de la chapelle Sud représentant l’allégeance à Notre Dame fut enfin inscrite à l’Inventaire Supplémentaire en 1975.
Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn, qui déjà l’avait martyrisé deux ans plus tôt en lui faisant arracher les yeux, la langue et les lèvres… Bouleversé par un tel acharnement, le roi convoqua un synode pour autoriser le culte des reliques du saint martyr et ses dépouilles furent transportées à Poitiers, au Monastère de Saint-Maixent où il avait été abbé. C’est en souvenir de ce transfert abondamment relaté par Grégoire de Tours, que le site fut placé sous son vocable.
Désaffecté par le Culte près de mille ans plus tard, en 1863, à l’occasion du déplacement du bourg, le sanctuaire Saint-Léger de Cravant échappa miraculeusement à la démolition et fut mis en vente aux enchères publiques le 8 janvier 1865.
Il fut alors acquis par la Société Archéologique de France qui le revendit le 2 Mars 1933, pour cent Francs, à l’Association des Amis du Vieux Cravant créée le 25 Décembre 1932, jour de Noël, par le Chanoine Audard, curé de Cravant.
(Selon  https://www.cravant-les-coteaux.fr/)